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Fio Minora

Qui je suis ?

Je suis Fiona mais on m’appelle plus souvent Fio. Minora est l’anagramme de mon nom officiel. Ça a donné Fio Minora.

Depuis toujours, les mots, les langues et les livres sont au cœur de ma vie.

C’est ce qui m’a amenée à faire un Master d’Anglais et à passer une année en Irlande grâce à Erasmus.

Là-bas, j’ai non seulement perfectionné mon anglais mais j’ai aussi découvert une autre façon d’interagir avec les gens, une culture différente qui a enrichi ma vision des choses.

À mon retour, et après cinq ans d’études, on m’a dit : « C’est bien, maintenant tu peux être professeur. »

Spoiler : non, ce n’était pas pour moi.

Je voulais rester dans l’univers du livre, mais sans passer par la case salle de classe. Alors, j’ai tenté une autre voie : un DUT Métiers du Livre Édition-Librairie, en me disant que j’aurais ma place en édition.

Sauf qu’à la fin, on m’a dit : « C’est bien, maintenant tu peux aller à Paris. » Devine quoi ? Toujours pas.

Plutôt que de suivre ce chemin, j’ai choisi de travailler en librairie. Parce que des librairies, il y en a partout en France.

C’était, pour moi, la meilleure façon de rester connectée aux livres et aux auteurs, sans compromis.

Pendant six ans, j’ai vécu cette passion au quotidien… jusqu’à ce que je réalise que je passais plus de temps derrière une caisse qu’à conseiller des lecteurs. Frustrant, non ?

Après cette expérience, j’ai connu une année floue en administration des ventes, et qui s’est malheureusement soldée par un burnout.

C’est à ce moment-là que tout a basculé : un diagnostic de maladie m’a fait comprendre que je ne pourrais plus être libraire, physiquement parlant.

Une chose était claire : ma passion pour la lecture était intacte, et mes connaissances dans ce domaine avaient une vraie valeur.

Pourquoi j'aide les auteurs indépendants ?

C’est là que l’idée a germé : et si j’aidais les auteurs indépendants à vendre leurs livres ?

J’ai vu trop d’auteurs se battre pour exister sur Internet, noyés dans la masse d’écrivains autoédités qui a explosée après le COVID.

Ce qu’on ne leur dit pas assez, c’est que les lecteurs sont encore (et toujours !) présents en librairie.

C’est le lieu où vos livres doivent être.

Et je sais de quoi je parle. Ce que j’ai vu en librairie ?

Des auteurs pas préparés : des résumés maladroits, des arguments de vente inexistants, des postures fermées, des prospections pile au mauvais moment quand le libraire est débordé.

Des livres mal finis, des auteurs absents de leur table, ou pire… scotchés à leur téléphone ou plongés dans un bouquin pendant leur propre dédicace.

Résultat ? Du temps perdu, des opportunités manquées, et des ventes au point mort.

À l’inverse, les auteurs bien préparés, eux, font la différence : ils sont patients, disponibles, savent attirer l’attention des lecteurs avec un bon bagout. Ils se rappellent de leurs lecteurs fidèles, et devinez quoi ? Ces lecteurs reviennent les voir.

Chaque dédicace devient un moment précieux, autant pour l’auteur que pour les lecteurs.

Et les ventes ? Elles décollent.

Comment aider les auteurs ?

1. Un texte corrigé.

Adieu répétition, coquilles et tics d’écriture !
Déjouez la défiance des lecteurs et des libraires envers votre travail : non, l’autoédition n’est pas réservée aux auteurs ratés avec des textes nuls.
Une bonne correction montrera la qualité de votre travail. Voilà pourquoi je propose des services de correction

2. Un texte mis en page

Bonjour les chapitres, les numéros de page et un format numérique clair pour l’impression et la lecture numérique.
Il n’y a rien de pire que de lire un livre que l’on ne peut pas ouvrir convenablement car les marges n’ont pas été réfléchies pour la lecture, ou un livre numérique sans queue ni tête car pas réfléchi pour la lecture sur liseuse !
Vous éviter ce problème est le rôle de mon service de mise en page.

3. Une démarche marketing construite

Comment se vendre soi et vendre son livre ? Où ? Quand ? À quel coût ? À qui ?
C’est le rôle de mon accompagnement pour vendre en librairie.